A Nocte Temporis, Reinoud Van Mechelen, Vox Luminis, Lionel Meunier – Charpentier: Orphee aux enfers (2020) [FLAC 24bit/96kHz]

A Nocte Temporis, Reinoud Van Mechelen, Vox Luminis, Lionel Meunier – Charpentier: Orphée aux enfers (2020)
FLAC (tracks) 24 bit/96 kHz | Time – 01:22:06 minutes | 1,51 GB | Genre: Classical
Studio Masters, Official Digital Download | Digital Booklet, Front Cover | © Alpha

The Orpheus myth was as important for the birth of opera in France as it had been in Italy. In 1684, Charpentier composed a work for three voices, Orphée descendant aux Enfers. With this piece, remarkable for its style and concision, he showed how well he had assimilated Carissimi’s art. It is a dramatic scene, similar to the ‘sacred histories’ of the Roman master. The text, by an unknown author, narrates Orpheus’ quest for his beloved in the Underworld. The hero’s haute-contre gives him an elegiac timbre – this was the vocal register in which Charpentier, himself a singer, excelled.

In 1687 he created his second illustration of the myth, La Descente d’Orphée aux Enfers. In its two acts can be discerned the outline of a possible complete opera – the manuscript has reached us shorn of the third act in which Orpheus would presumably have lost Eurydice before being devoured by the Maenads. While La Descente d’Orphée has already been recorded several times, the Orphée of 1684 is a rarity and a magnificent discovery. In these two roles that might have been written for him, Reinoud van Mechelen is at the peak of his artistry, while his ensemble A Nocte Temporis and Lionel Meunier’s group Vox Luminis blend in perfect symbiosis.

Tracklist:
01. Orphée descendant aux enfers, H. 471: Prélude (3:28)
02. Orphée descendant aux enfers, H. 471: “Récit d’Orphée, violon lentement” (1:19)
03. Orphée descendant aux enfers, H. 471: “Effroyable enfers, où je conduis mes pas” (7:34)
04. Orphée descendant aux enfers, H. 471: “Quelle douce harmonie a frappé mon oreille ?” (1:16)
05. Orphée descendant aux enfers, H. 471: “Vos plus grands criminels rongés par des vautours” (3:58)
06. Orphée descendant aux enfers, H. 471: “Ne cherchons plus d’où vient cette tendresse” (2:58)
07. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: Ouverture (2:38)
08. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Inventons mille jeux divers” (4:38)
09. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Compagnes fidèles” (3:05)
10. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Soutiens-moi, chère Énone” (0:38)
11. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Qu’ai-je entendu ? Que vois-je ?” (0:42)
12. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Ah ! Bergers c’en est fait” (3:34)
13. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: Entrée de Nymphes et de Bergers désespérés (1:34)
14. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Lâche amant, pourrais-tu survivre” (0:43)
15. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Ne tourne point, mon fils” (2:22)
16. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Que d’un frivole espoir” (5:09)
17. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Affreux tourments, gênes cruelles” (1:39)
18. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Cessez, cessez fameux coupables” (1:56)
19. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Quelle touchante voix” (1:50)
20. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Je ne refuse point ce secours” (1:13)
21. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Il n’est rien aux Enfers” (1:34)
22. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: Entrée des Fantômes (1:16)
23. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Que cherche en mon palais ce mortel téméraire ?” (1:12)
24. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Je ne vis point ici, Monarque des Enfers” (2:56)
25. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Pauvre amant, quel cœur de rocher” (1:32)
26. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Eurydice n’est plus, et mon feu dure encore” (2:39)
27. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Le destin est contraire à ce que tu souhaites” (1:54)
28. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Tu ne la perdras point, hélas, pour me la rendre” (2:12)
29. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Quel charme impérieux m’incite à la tendresse ?” (1:35)
30. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Souviens toi du larcin que tu fis à Cérès” (3:45)
31. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Je cède, je me rends, aimable Prosperine” (2:47)
32. La descente d’Orphée aux enfers, H. 488: “Vous partez donc, Orphée ?” (6:43)